- Ce n'est pas grave tu es encore sous le choc. Je comprend. Essaye de dormir un peu, on verra ça plus tard.
J'essuie sa larme de ma main et lui carresse le visage pour lui fermé doucement les yeux.
Ne t'en fais pas dors, je vais prendre soin de toi désormais...
J'attend qu'elle tente de plus ou moins se reposer. Je sors de la chambre et prend mon téléphone :
- Allo Eoh, faut qu'on parle, viens dès que tu peux à la maison.